Kassensturz révèle : 11 coffres-forts sur 12 s’ouvrent facilement — les sites privés montent en puissance

L’émission alémanique Kassensturz a testé 12 coffres-forts parmi les plus vendus en Suisse, via un expert de la société allemande PZT. Le résultat est stupéfiant : 11 d’entre eux se sont révélés extrêmement faciles à ouvrir. Ce constat remet en cause la fiabilité de nombreux modèles commercialisés sur le marché suisse, et alerte les propriétaires de biens de valeur sur de faux sentiments de sécurité. Face à ces faiblesses, l’intérêt pour les sites privés de coffre-fort connaît un regain : offrir un service hors système bancaire mais avec une sécurité renforcée, couplée à un personnel identifié (gestionnaires, techniciens, surveillance), crée un niveau de confiance au-delà de ce qu’un simple produit domestique peut apporter. En Suisse, certains opérateurs privilégient un stockage indépendant, discret et hautement sécurisé, protégé par des équipes spécialement formées et des infrastructures blindées dont la valeur se chiffre parfois à plusieurs millions d’euros. À première vue, ces sites peuvent paraître sobres et sans ostentation, mais les matériaux utilisés : aciers composites, bétons renforcés, systèmes d’ancrage et de détection de dernière génération, témoignent d’un niveau de protection bien supérieur à ce que l’apparence laisse imaginer.. L’entreprise promet un contrôle total, une surveillance permanente, et un anonymat strict. D’autres prestataires privés proposent des chambres fortes sécurisées et accès discret sans obligation d’ouverture d’un compte bancaire. Le personnel, souvent issu du secteur sécurité ou bancaire, porte une réputation à défendre, ce qui incite à plus de rigueur dans les processus (identification stricte, procédures d’accès, gardiennage). Ainsi, la marque du personnel à la fois visible et responsable, agit comme un gage de qualité que des produits anonymes ne peuvent offrir. Sources : Le Temps | Pourquoi c’est important : Une défaillance dans la protection peut exposer vos biens à un vol rapide et invisible, d’où la nécessité de choisir une infrastructure privée dont le personnel identifiable et les procédés de sécurité assurent une véritable dissuasion.

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Le Luxembourg investit dans Bitcoin et marque l’histoire de la cryptomonnaie en Europe

Le Luxembourg a franchi une étape historique : son fonds souverain FSIL investit désormais 1 % de son portefeuille dans des ETF Bitcoin, devenant ainsi le premier fonds public de la zone euro à s’exposer officiellement à la cryptomonnaie. Le ministre des Finances, Gilles Roth, a annoncé ce changement dans le budget 2026, après qu’une réforme de la politique d’investissement ait autorisé jusqu’à 15 % pour les actifs alternatifs (crypto, immobilier, private equity). Que signifie ce virage au plan économique ? Le numérique (crypto, paiements électroniques) permet des transactions quasi instantanées, une plus grande transparence et une diversification des actifs. Mais il comporte des risques (volatilité, réglementation, sécurité). Le « cash » traditionnel et les actifs tangibles jouissent d’une fonction refuge, d’une stabilité reconnue et d’un statut juridique bien établi. En combinant les deux, un État peut profiter de l’innovation tout en gardant des garanties. Le Luxembourg opte pour une exposition prudente : via des ETF plutôt que des détentions directes, pour limiter les risques opérationnels. Cette décision met le pays sous les projecteurs et pourrait encourager d’autres États européens à reconsidérer leur attitude vis-à-vis de la cryptomonnaie. Elle illustre la volonté de préserver un lien avec le modèle monétaire traditionnel tout en reconnaissant que les actifs numériques ont acquis une maturité suffisante pour entrer dans des portefeuilles institutionnels. Sources : Cointelegraph | Blockworks | CryptoSlate Pourquoi c’est important : Conforter la légitimité des cryptos dans les portefeuilles publics, encourager l’adoption institutionnelle en Europe, tout en conjuguant innovation et prudence dans la mutation monétaire.

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La BNS dévoile les six finalistes pour les futurs billets de banque

La BNS a récemment dévoilé les six finalistes du concours pour la future série de billets de banque suisses sous les noms de Concepts B, G, H, J, K et L. Ce choix résulte d’un sondage auprès du public (plus de 100 000 participants) et de l’évaluation d’un jury d’experts, en vue d’annoncer le vainqueur au premier trimestre 2026. Les nouveaux billets pourraient entrer en circulation au début des années 2030, sous réserve de validation technique et de production. Dans le contexte d’une transition numérique forte, la Suisse entend maintenir ses billets physiques. Le numérique (paiements électroniques, transferts instantanés) offre rapidité, commodité et traçabilité, mais il dépend d’infrastructures et peut soulever des enjeux de vie privée. Le cash, lui, est neutre, indépendant des réseaux, anonyme, utilisable sans électricité, et apprécié par une grande majorité de citoyens, la BNS souligne que près de 95 % des Suisses veulent conserver la possibilité de payer en espèces. Ainsi, même si l’usage des paiements numériques croît (avec des systèmes de paiements instantanés déjà lancés), la BNS affiche une volonté claire : le billet doit perdurer comme pilier du système monétaire. Au plan économique, on peut voir deux mondes : le numérique permet de fluidifier l’économie, les transactions se font en quelques secondes, les coûts sont réduits, la transparence augmente. Mais l’argent « tangible » conserve un rôle de réserve de valeur, d’assurance contre les pannes technologiques ou les crises numériques. La Suisse, forte de son modèle diversifié, souhaite garder les deux volets : développer les infrastructures électroniques tout en modernisant le cash. Le nouveau design des billets se veut à la fois esthétique, sécurisé, et symbolique du relief suisse. Sources : BNS – projet nouvelle série | SWI swissinfo.ch | Reuters Pourquoi c’est important : Assurance que le franc suisse conserve un double visage (numérique et physique), sécurisation des transactions en situation extrême ou panne, et préservation de la liberté monétaire pour tous.

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AMD frappe fort : un méga-contrat avec OpenAI propulse l’action à des sommets historiques

AMD a conclu un accord stratégique majeur avec OpenAI : la firme de semi-conducteurs fournira jusqu’à 6 gigawatts de processeurs AI (GPU) sur plusieurs années, dont un premier déploiement de 1 gigawatt dès la seconde moitié de 2026. Cet accord inclut aussi des warrants permettant à OpenAI d’acquérir jusqu’à 10 % des actions d’AMD, liés à des jalons techniques et financiers. La publication de cette collaboration a provoqué une forte hausse du cours d’AMD, de plus de 20 % en une séance, suscitant une révision à la hausse des objectifs de cours chez plusieurs analystes. Elle marque une étape importante pour AMD dans sa rivalité avec Nvidia, en renforçant son positionnement dans le secteur des infrastructures AI à grande échelle. Dans un même temps, AMD poursuit sa réorganisation industrielle : l’entreprise a annoncé la cession de l’activité de fabrication de serveurs de ZT Systems à Sanmina pour 3 milliards de dollars, afin de se concentrer sur la conception et l’architecture des systèmes AI plutôt que sur la production matérielle lourde. Ce double mouvement expansion AI via OpenAI et recentrage industriel pourrait repositionner AMD comme un acteur clé du paysage technologique, tout en testant sa capacité à exécuter une stratégie plus légère sur la fabrication. Les investisseurs surveilleront de près l’évolution des marges et la montée en puissance des revenus AI. Sources : AMD Press Release | Reuters — accord AMD / OpenAI | Reuters — cession ZT Systems Pourquoi c’est important : Ce partenariat stratégique avec OpenAI renforce la position d’AMD dans l’IA, attire les investisseurs, et ouvre la voie à des revenus massifs, mais impose un défi de réalisation et de maintien de marges dans un secteur ultra concurrentiel.

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La Suisse attire à nouveau les capitaux : le financement des startups bondit de 36 % en 2025

La Suisse s’impose désormais comme un champion du deep tech : entre 2019 et 2025, 60 % du capital-risque investi dans le pays a été dirigé vers des entreprises deep tech, un record mondial. Selon le Swiss Deep Tech Report 2025, les volumes investis dans ce segment sont passés de 1,9 milliard de dollars en 2024 à un objectif de 2,3 milliards pour 2025. (Deep Tech Nation) (The Next Web) Ce choix stratégique ne se limite pas aux montants : les tours de financement en technologie de rupture se multiplient, même si les investisseurs étrangers dominent largement les interventions en phase tardive. En parallèle, dans l’actualité récente, Corintis, start-up vaudoise spécialisée dans le refroidissement de puces pour l’IA, a levé 24 millions de dollars et recruté l’ancien CEO d’Intel, Lip-Bu Tan, à son conseil d’administration. (Reuters) Outre Corintis, la scène biotech suisse continue aussi d’attirer des capitaux : Hedera Dx, à Lausanne, a clôturé une série A de 15 millions d’euros pour accélérer ses solutions de diagnostic moléculaire en oncologie. (EU-Startups) Le secteur biotech demeure un pilier durable du paysage startup helvétique. Cette envolée des financements venture capital confirme le rôle de la Suisse comme hub d’innovation technologique de pointe. Elle crée une dynamique favorable pour les scaleups suisses, mais pose également des défis : structuration du capital local, fidélisation des talents et transition réussie vers les phases de croissance. Sources : Deep Tech Nation — Swiss Deep Tech Report 2025 | Reuters — Corintis lève des fonds | EU-Startups — Hedera Dx lève 15 M€ Pourquoi c’est important : Ce mouvement stratégique alimente la transition technologique suisse, attire les investisseurs mondiaux et renforce le positionnement du pays dans les filières d’avenir, mais il exige des efforts pour construire une base locale de capitaux et retenir les talents.

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Bitcoin franchit un nouveau record historique à 125 000 USD

Bitcoin a récemment atteint un nouveau record historique, franchissant la barre des 125 000 USD, porté par des afflux massifs vers les fonds négociés (ETFs) et une recherche de refuge face à des incertitudes macroéconomiques, notamment le blocage du gouvernement américain. La course en avant de BTC s’inscrit aussi dans un contexte d’adoption institutionnelle accrue : des analystes de Citigroup ont récemment ajusté leur prévision pour Bitcoin (révisée à la baisse) face à des vents macroéconomiques contraires, tandis que l’intérêt pour les cryptos reste vigoureux. De l’autre côté, en Suisse, l’écosystème se renforce : Blockstream a acquis Elysium Lab pour établir sa filiale européenne en Suisse, consolidant le rôle helvétique dans l’infrastructure bitcoin. Le cas suisse suscite aussi des débats réglementaires plus larges : la Banque nationale suisse a rejeté l’idée d’inscrire le bitcoin dans ses réserves, évoquant des risques de liquidité et de volatilité. Par ailleurs, la Suisse a voté une législation pour échanger automatiquement les données liées aux cryptos avec 74 pays à partir de 2026, ce qui pourrait transformer la transparence fiscale du secteur. Sources : Reuters | Bloomberg | CoinDesk Pourquoi c’est important : Le retournement vers des niveaux record témoigne d’un basculement où bitcoin cesse d’être un actif de niche pour redevenir une variable macroéconomique intégrée, ce qui pourrait redessiner les arbitrages entre monnaies, réserves souveraines et stratégies d’investissement institutionnel.

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L’or en Suisse : ce que les particuliers ignorent sur les impôts

En Suisse, la fiscalité de l’or intrigue beaucoup de particuliers. La règle est claire : l’or d’investissement, qu’il s’agisse de lingots d’une pureté minimale de 995/1000 ou de pièces reconnues par un État, est exonéré de TVA. Les plus-values réalisées par des particuliers lors de la revente d’or physique ne sont en général pas imposées, tant que l’activité ne relève pas du commerce professionnel. En revanche, la valeur des avoirs en or doit être déclarée dans l’impôt sur la fortune au 31 décembre. Depuis quelques années, les règles de transparence se sont renforcées. Les commerçants de métaux précieux sont soumis à des obligations de diligence et d’enregistrement dès certains seuils afin de prévenir le blanchiment. Ces dispositions ne changent pas la fiscalité des particuliers, mais elles encadrent le marché et garantissent la traçabilité des transactions. Pour les transferts institutionnels et les grands acteurs du négoce, la situation est plus complexe. Les flux internationaux d’or doivent respecter des normes douanières strictes et les règles de conformité financière. Dans le contexte actuel de tensions commerciales, des surtaxes envisagées par les États-Unis fragilisent les exportations suisses et posent la question de la compétitivité de la place helvétique. Le statut particulier de l’or bancaire, sous forme de lingots agréés, demeure toutefois protégé et reste exempt de TVA et de droits à l’importation. En résumé, les particuliers bénéficient d’un cadre fiscal favorable tant qu’ils se limitent à la détention privée et déclarent correctement leurs avoirs. Les grandes institutions, elles, doivent composer avec des enjeux douaniers, géopolitiques et de conformité, qui peuvent rapidement transformer l’or en un actif hautement stratégique au-delà de sa simple valeur refuge. Sources : OrSuisse | PreMeSec | SWI swissinfo.ch Pourquoi c’est important : La fiscalité avantageuse de l’or en Suisse attire les particuliers, tandis que les institutions doivent gérer un cadre plus complexe où douanes, conformité et tensions commerciales pèsent directement sur la compétitivité nationale.

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Washington paralysé, marchés sous tension : l’effet domino du shutdown sur la Suisse

Le 1er octobre 2025, le gouvernement fédéral des États-Unis est entré en shutdown pour la troisième fois sous la présidence de Donald Trump, faute de vote sur le budget 2026 au Congrès. Environ 900 000 fonctionnaires ont été mis en congé forcé et nombre d’agences non « essentielles » voient leurs opérations suspendues ou ralenties. La Suisse et l’Europe ressentent déjà des répercussions. Sur les marchés, le franc suisse s’est apprécié face au dollar au gré des craintes liées à l’instabilité américaine. L’incertitude politique pousse aussi les investisseurs vers l’or, dont le cours atteint des sommets. Les marchés européens sont, dans un premier temps, restés résilients, mais les indices STOXX 600 ou le SMIC sont sensibles aux perturbations des chaînes d’approvisionnement et au moindre ralentissement de la demande américaine. Du point de vue économique, un arrêt prolongé du gouvernement américain pourrait coûter jusqu’à 15 milliards de dollars de PIB par semaine aux États-Unis. À l’échelle européenne, des économistes estiment que deux semaines de shutdown pourraient peser pour 4 milliards d’euros sur le PIB de l’UE, et huit semaines jusqu’à 16 milliards. Ce frein à la demande américaine se traduira par un recul des exportations européennes, des retards douaniers et dysfonctionnements dans les approbations de licences d’exportation. Pour la Suisse le shutdown américain ne fait qu’accentuer des tensions commerciales déjà vives. Sources : Reuters | Euronews | Reuters (analyse historique) Pourquoi c’est important : un shutdown américain perturbe non seulement la demande intérieure et les flux d’exportation, mais bloque aussi l’activité réglementaire de washington ; pour la suisse et l’europe, cela signifie des retards dans l’octroi de licences, un gel des validations douanières et une volatilité accrue sur les marchés de change et des métaux précieux, autant de points névralgiques pour des économies tournées vers l’export.

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Nouvel accord monétaire Suisse‑USA : stabilité et surveillance des devises

La Suisse et les États-Unis ont récemment signé un accord historique sur la non-manipulation des devises, mettant fin à une période de tensions monétaires entre les deux nations. Cette décision marque un tournant dans les relations économiques bilatérales et offre à la Banque nationale suisse (BNS) une plus grande flexibilité pour gérer la politique monétaire sans craindre de représailles liées à la manipulation de la monnaie. Le département du Trésor américain a annoncé la suppression de la Suisse de sa liste de surveillance des pays soupçonnés de manipuler leur monnaie. Cette décision intervient après des discussions approfondies entre les autorités suisses et américaines, où la Suisse a expliqué que ses interventions sur le marché des changes visaient à atténuer les effets négatifs d’un franc suisse trop fort sur son économie exportatrice, et non à obtenir un avantage compétitif indu. Pour la BNS, cette évolution est significative. Elle pourra désormais intervenir plus librement sur le marché des changes pour stabiliser le franc suisse sans risquer des sanctions ou des tensions diplomatiques avec les États-Unis. Cette flexibilité accrue est essentielle pour maintenir la compétitivité de l’économie suisse dans un contexte économique mondial incertain. Sources : Reuters Pourquoi c’est important : Cette décision renforce la souveraineté monétaire de la Suisse et offre à la BNS les outils nécessaires pour gérer efficacement la politique monétaire, assurant ainsi la stabilité économique du pays.

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Hiroshima 1945 : quand la bombe révèle l’importance d’une chambre forte certifiée pour vos biens

Le 6 août 1945, Hiroshima fut ravagée par la première bombe atomique. Alors que la ville entière était détruite, certaines structures bancaires résistèrent partiellement à l’explosion, démontrant la robustesse des coffres et chambres fortes de l’époque. Cette résilience historique rappelle que les solutions domestiques classiques ne garantissent pas toujours la protection des biens les plus précieux face aux catastrophes majeures. Les coffres domestiques, bien qu’utiles pour un usage quotidien, ne disposent pas des certifications et protections avancées nécessaires pour résister à des incidents extrêmes. Comme l’illustre la résilience des chambres fortes lors de catastrophes historiques, à l’instar des structures bancaires à Hiroshima en 1945, seules les chambres fortes certifiées protègent efficacement documents, bijoux ou actifs financiers. À noter que lorsqu’il s’agit d’effraction, les cambrioleurs spécialisés s’attaquent rarement à des sites professionnels avec personnel sur place, vitrages blindés, sas sécurisés et protocoles d’alerte rende ces établissements beaucoup moins vulnérables. Les experts en sécurité patrimoniale insistent sur l’importance de solutions professionnelles. Une chambre forte certifiée offre des protections contre le feu, les inondations, l’effraction et les risques liés aux infrastructures ou catastrophes naturelles. Choisir une solution certifiée, c’est garantir que vos biens ne dépendent pas du hasard et rester maître de leur sécurité. La valeur humaine doit toujours primer sur tout, car elle reste la richesse la plus précieuse et irremplaçable. Sources : ICAN – Hiroshima and Nagasaki bombings | Reuters – Hiroshima marks 80 years since atomic bombing | Unremembered History – Atomic bomb-proof safe | Bank of Japan – Hiroshima atomic bomb history Pourquoi c’est important : Choisir une chambre forte certifiée garantit la protection optimale de vos biens face aux catastrophes et incidents extrêmes.

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Auteur

Mr.Somanou Vincent
Mr.Kehil Thomas

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